La Déclaration de 1992 sur la protection de toutes les personnes contre les disparitions forcées confirme le lien entre disparitions forcées et crimes contre l’humanité. En son quatrième alinéa du préambule, elle affirme que la «pratique systématique [des disparitions forcées] est de l’ordre du crime contre l’humanité». Le Groupe de travail considère que cette disposition doit être interprétée en tenant compte de l’évolution du droit depuis 1992.